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Sujet : Caol Ila | |
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Auteur | Sujet : Caol Ila | |||
Amor57 Alain (Membre) |
Posté le: 13/11/08 23:55 [Répondre ] AUrais-tu une photo de l'étiquette de ta bouteille, qu'on puisse se faire une idée ?
Pour poster une photo sur le forum je crois qu'il faut faire appel à la bonne volonté de son géniteur, Fred. Fred, es-tu là ? Ou es-tu en train de ranger ta cave ? A défaut sur la mets sur un site de publication et tu envoies le lien. Maintenant pour Macallan, le premier conseil que je pourrais donner est d'éviter la série "fine oak". Le deuxième est de s'orienter vers un sherry cask, qui a fait la réputation de Macallan. Après : single cask ? pourquoi pas si tu as déjà le palais et le nez un peu formés, sinon je trouve que c'est du gâchis. Réduit ou Cask strength ? C'est selon ton habitude des voltages élevés. Pour ma part je prèfère les cask strength qui font généralement mieux ressortir les arômes. Enfin pourquoi t'orienter vers Macallan ? Quelles expériences as-tu déjà des whiskies ? Connais-tu la série "classic malts" ? Quels sont tes goûts ? Préfères-tu le salé, le fumé, le fruité, la délicatesse, l'amertume, la douceur ... Je trouve que Macallan est une distillerie un epu difficile à appréhender lorsqu'on débute. |
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gnoschnee gnoschnee (Membre) |
Posté le: 14/11/08 09:10 [Répondre ] Ce lien devrait résoudre la petite complication :
http://www.whisky.fr/produit-8458C-caol-ila-cask-strength-59,6-embouteillage-officiel.html Pour le Macallan, j’imaginai d’engager, dans un premier temps, raisonnable à la construction du palais, un budget de 120€ (Surtout, à la Maison du Whisky, il m’a été dit, dans les termes de "pas à moins", qu’en deçà de cent, c’était illusoire, et j’en ai conclu : décevant.) C’est intéressant ce raisonnement, car je m’étais un peu resitué à propos du Macallan (non que j’en rêve la nuit !) et interrogé dans ce sens plus général de des mobiles véritables de ce choix parmi tant d’autres, notamment de sa complexité particulière. Ton post concrétise autrement le point où je reconsidérai ce prochain mouvement exploratoire. Plus : tu engages, par ces questions, à penser dans un champ précis, celui qui m’intéresse, c’est-à-dire orienté vers le whisky. Je réponds à ces questions : Q1 Quelles expériences as-tu déjà des whiskies ? R1 Quasiment aucune, et je ne touchai guère plus d’autres spiritueux, avec une ascèse de près de (plus de ?) 20 ans... Q2 Connais-tu la série "classic malts" ? R2 Nullement. Q3 Quels sont tes goûts ? Préfères-tu le salé, le fumé, le fruité, la délicatesse, l'amertume, la douceur R4 Tout, mais non sans distinction. Par exemple, ce qui m’a frappé (et séduit, et même subjugué) dans la dernière rencontre, c’est le dés-emboîtement d’arômes a priori incompatibles (salé-fumé avec fruité, quoique sans douceur), et que ça se "tenait" parfaitement (ie agréable aux sens et accepté par l’esprit). Surtout, un travail sur la réception sensible (les stimuli sensoriels) est engagé-poursuivi depuis de (très/trop) nombreuses années, notamment sur le tard afin d’écrire ; et une hygiène alimentaire me permet de maintenir dans une relative précision réceptive mon outillage sensoriel. Il n’empêche qu’en effet cet outil se doit, devant un nouvel "objet" (et quel objet !), d’être judicieusement étalonné. Assez "toxique" moi-même, je pense assez pouvoir accepter pour les révéler et sublimer des voltages élevés. Je recherche également, sans bravoure, ainsi qu’on peut connaître l’état d’équilibre par contraste ou centration face aux "symptômes", un breuvage très iodé, pour parfaire ma connaissance des îles. C’était ma conclusion à l’alternative au Macallan, que poursuivre dans l’amplitude et la précision mon premier vrai pas dans cette contrée nouvelle, autant que féerique (au sens authentique d’ensorcellement-exorcisme des esprits et autres génies de la terre et de l’air ; je plaisante ou/et "poétise" à peine !!). Il m’apparaît en effet que derrière cet art, est recélée une recette, opératoire à qui sait décoder le charme. N’entend pas qui veut la/les combinaison/s, et certainement pas le premier venu. Cependant, l’acquis dans d’autres champs peut être ici extrapolé, si l’on n’omet pas de coller à l’expérience (et donc aussi aux savoirs). Alors, puisque j’ai les bottes chaussées déjà pour le littoral, un Oban ? Mais lequel... ou bien : Laphroaig, Ardbeg, Scapa, Highland Park ??? Réponse ou pas, l’exploratoire, avec ses inconnues, fait partie du plaisir de l’enquête. Par contre, hors les stéréotypies de distilleries, je sais qu’il me faut un contrepoint, quelque chose de doux vraiment, comme par exemple celui en pâtisseries pleines (quelque chose du calisson) et aux boisés d’un intérieur bourgeois du (the) Glenlivet, qui marque bien, par sa stabilité, son confort, sa robustesse et sa force, la tonalité chaude, rougeoyante-brune, celle d’un intérieur cossu, très travaillé-ouvragé, en contraste avec la vitesse, la diffusion végétale essentielle, le vent, l’aspect ambulatoire, panique presque dans ses teintes "verdâtres", ses développements fruités (ces sèves ensorcelées dans le bois de futaille) ainsi que tourbés-laborieux du Caol Ila. Il me semble que ces deux "aspects" sont, pour moi (et d’un certain point de vue), complémentaires : aventure et confort, opulence et "dénuement" (mais alors, quelle richesse !). Je n’ai pas écarté l’amertume. Les toxiques, les "poisons" (c’est un défaut de langue qui me fait employer ces vocables) ont également mon écoute, et mon goût. Un postulant est prêt à tenter cette rencontre, à se voir révéler dans cette rencontre. Mais quelle-s piste-s ??? Pas une carte, car la démarche de connaissance et plaisir serait alors par trop à l’allure d’un parcourt touristique : quelques pistes, seulement. Pour ménager la marge de créativité, de découverte. La marge, et avec elle un principe d’incertitude (même si l’écosse est si belle en les siennes, c’est là une répugnance bien compréhensible de mise en bouteille, avec étiquette et tout). |
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SINGLEMALT Mieux vaut 1 excellent dram...que 2 médiocres .(Life is too short to drink bad whisky).......Denis (Rédacteur) |
Posté le: 14/11/08 10:23 [Répondre ] Macallan fût dans les années 80 exceptionnel en version officielle 12 et 18 ans . (sherry cask)
On peut encore en trouver mais cela devient de plus en plus rare . J'allais, comme Alain te l'a conseillé d'éviter les "fine oak" ils ont perdu beaucoup d'arômes anciens avec cette nouvelle gamme . J'ai d'ailleurs, à ce sujet, visité leur distillerie, lors de la présentation du nouveau produit . Macallan est devenu...presq'une "usine" .(malgré l'esprit de famille qui propose aux employés d'habiter sur place) Les whiskies des îles pourront te séduire, pour le côté iodé . on en reparle, plus tard . Par contre à ce niveau, j'ai bien peur de ne pas pouvoir t'éclairer beaucoup, c'est pour le moment un arôme qui me déplaît...les goûts changent fort heureusement...mon premier whisky à mes 18 ans m'avait semblé infect... mise à jour : 14/11/08 11:43 |
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Amor57 Alain (Membre) |
Posté le: 14/11/08 12:23 [Répondre ] Je vais essayer de raisonner simplement. Tu as une expérience dans le domaine gustatif mais qui exclut les spiritueux. Tu as déjà tasté un Caol Ila CS OB, d'un titre important qui t'a fait entrevoir la richesse des flaveurs et saveurs des whiskies. Tu te fixes un budget de 120 euros.
Les Classic Malts sont une série de whiskies qui représentent chacune des régions de production. Ce ne sont pas les "meilleurs" whiskies de chaque région mais leur rapport Q/P permet de découvrir la diversité des productions écossaises. Ce sont : Lagavulin 16 ans, Talisker 10 ans, Oban 14 ans, Cragganmore 12 ans, Glenkinchie 12 ans (qui vient de remplacer le 10 ans) et Dalwhinnie 15 ans. Je me dis que tu n'entres pas dans le whisky par le chemin le plus simple. Lorsqu'on apprend à lire on commence par apprendre l'alphabet avant de passer, ne serait-ce qu'à la Fontaine ou Rimbaud. En ce qui te concerne tu débutes par justement ce la Fontaine ou ce Rimbaud avant de savoir lire et tu en découvres toute la richesse. Ce n'est naturellement qu'une image. J'aurais donc tendance à te dire qu'il vaudrait mieux que tu commences à te faire les sens sur des coffrets simples, du style les 2 x 3 whiskies des classic malts, ou un éventail de produits représentant typiquement chaque région de production. Ce sera ton alphabet. Je précise aussi que cette approche, pour didactique qu'elle soit, risque de décevoir tes sens après avoir goûté du Verlaine (ton Caol Ila CS OB). Il faut donc prendre ce passage, que je considère comme fondamental, comme une appropriation de bases plus que comme une recherche de sensations. Tu peux naturellement t'en passer mais il me semble que tu passerais à côté de beaucoup de choses, comme de goûter un Château-Margaux en ne connaissant rien aux vins. Pour en revenir à Macallan, 100-120 euros pour une bouteille significative me paraît un strict minimum. Mais il faut savoir que les prix pratiqués par différentes maisons peuvent aller du simple au double. La fourchette pratiquée par l'établissement d'où tu as tiré ta photo est proche du facteur 1,7. Recherche donc d'autres sources pour des bouteilles qui sortent de l'ordinaire à des prix raisonnables. Et on peut trouver en GMS d'excellents produits d'initiation, comme le Glenlivet dont du parles ou les Classic Malts Merci d'avoir eu le courage de me lire jusqu'au bout, ce post étant un peu trop long. |
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gnoschnee gnoschnee (Membre) |
Posté le: 14/11/08 14:40 [Répondre ] Merci en retour pour ton post, de ta lecture préalable.
J’essaie de faire court, sans perte de flaveurs ni saveurs (difficile exercice). Pour reprendre l'analogie, excellente, de "Verlaine" (l'un de mes référents extrasensoriel, tourné vers l'opacité de la terre, tandis que Rimbaud, l'extra-lucide, l'est vers l'air et la lumière) and Co, je vais donc m'astreindre avec soins à - engager et - poursuivre cette démarche météorique-humaine de l'élève-impétrant ; c’est-à-dire, autant que ton conseil pédagogique (c'est le renard acceptant l'approche sur le banc du Prince humaniste, parce qu'il se met à la hauteur de son langage et de son système de représentations), aller jusqu’au bout du destin de cette autre voie périlleuse : l'initiation divine-traumatique. Ainsi, guidé par le mercure des Baroques*, conformément à un souhait de "Nature", avec le risque d'éclatement rimbaldien de la seconde, suis-je à répondre de ma double approche, apollinienne et dionysiaque. Je prends donc note de ce correctif d'étalonnage, sérieusement, pour ne pas fausser l’appareil. Ainsi j’aurai bien là mon contrepoint, diversifié et didactique, sans exclusion de la joie de n’être pas (seulement) dans le contrôle : ce-lui qui va ET "ce-lui qui vient" (ou peut advenir) ! Athanor pour verre de dégustation, loin des condensations et des déplacements freudiens, ce qu’il y a d’extraordinaire, c’est que tout cela en chacun-e d’entre-nous d’une alchimie, par transsubstantiations successives, est encore à l’oeuvre de travailler ses "chromatismes d’étapes régionales". L’initié plus en avant sur le chemin restant libre d’indiquer ou non, et l’impétrant de prendre des risques. Mais je n’oublierai pas la leçon technologique du coulisseau régulateur, car ce serait feindre d’ignorer voir les nuances de l’arc-en-ciel des Classic Malts ! Question : que signifie OB, dans l’appellation "Caol Ila CS OB" ? MEMORABILIA : "Il faut donc prendre ce passage, que je considère comme fondamental, comme une appropriation de bases plus que comme une recherche de sensations." ("Comment a-t-on pu imaginer de faire tenir un liquide dans un montage de morceaux de bois fort difficile à assembler ?", demande Pierre Boujut, tonnelier, dans Des métiers et des hommes au village, de Bernard Henry, 1975 ** ; art de la tonnellerie et bonnes briques de tourbe, c'est un outil d'expériences littorales et hauturières hautement utile pour la pérennité du dive-paysage et de la roche-coque que tu nous transmets-là ! Et quelle dévotion à l’objet... science et art.) : Pour aller loin, sans nécessairement borner mon pas, à fins d'appréciations je la fais mienne cette citation, en tant que "sextant-prisme". * partant du fait qu’un certain La Fontaine, celui qu’ignorent d'encore trop nombreux manuels, n’est pas sans réels et vrais plaisirs... ** http://fr.wikipedia.org/wiki/Tonnelier |
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gnoschnee gnoschnee (Membre) |
Posté le: 14/11/08 15:00 [Répondre ] "mon premier whisky à mes 18 ans m'avait semblé infect..." J'avais lu ça en effet, il me semble, depuis l'un des sentiers-topics de ce forum
D'accord, on en reparlera. |
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SINGLEMALT Mieux vaut 1 excellent dram...que 2 médiocres .(Life is too short to drink bad whisky).......Denis (Rédacteur) |
Posté le: 14/11/08 16:23 [Répondre ] Pour répondre à ta question,
Caol Ila CS OB veut dire cask strength official bottling Sans vouloir marcher sur les plates-bandes d'Alain . En réponse, à la sugestion d'Alain, je conseille vivement dans les "Classics Malts" de prendre les "Distillers edition" qui sont souvent nettement de qualité supérieure . Et...pour en revenir à mon premier whisky...c'était en fait un "bête" J&B Il m'a fallu presque 20 ans avant de pouvoir apprécier un "single malt" à sa juste valeure mise à jour : 14/11/08 16:30 |
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gnoschnee gnoschnee (Membre) |
Posté le: 14/11/08 18:16 [Répondre ] Hommage donc au whisky. Et reconnaissance à ses vates et autres druides que je consacre du grand prix Ezra Pound du forum, avec - mimant Bataille copiant Kafka : l'Abbé C - l'ABC du boire (heu, ce ne fut là que fort petite bouffée lyrique : SVP, ne le pendez pas sitôt au chêne !!).
En clair et filtré : Je ne perçois ni ne conçois, entre gentlemen, qu’il y ait "plates-bandes", mais socialisation, partage, ainsi que manières, tact, etc. Et oui, parce raisonnables, et simples en effet, je vais suivre ces conseils. Question pratique : quel-s indépendant-s, si j'ai tout suivi, au bon rapport QP (facteur se rapprochant de 1), permettrai-en-t à l'amateur désormais éclairé que je suis de se procurer des "classics malts distillers ed." ? mise à jour : 14/11/08 22:25 |
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SINGLEMALT Mieux vaut 1 excellent dram...que 2 médiocres .(Life is too short to drink bad whisky).......Denis (Rédacteur) |
Posté le: 14/11/08 18:23 [Répondre ] Lorsque j'ai abordé "le terme"...pas de politique (les avertis comprendront...)
plates-bandes...c'est de l'humour, j'ai eu l'occasion de rencontrer Alain... qui est, pour ma part quelqu'un que j'apprécie énormement . (soit-dit en passant) Donc, on se fait de temps en temps quelques petites bousculades de language tout-à-fait sans arrières-pensées, juste de quoi mettre une petite touche délassante...Hein ???? Alain Les "classic malt" en version "distillers edition" sont disponibles chez les bons cavistes, mais sont des bouteilles officilles de la distillerie, par contre les classics malts traditionaux sont dispos en grandes surfaces . mise à jour : 14/11/08 18:32 |
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Amor57 Alain (Membre) |
Posté le: 15/11/08 14:11 [Répondre ] Je reprends le fil des posts avant de l'abandonner à nouveau pour quelques temps, de quoi réintégrer la métropole et de reprendre mes marques.
Donc, on se fait de temps en temps quelques petites bousculades de language tout-à-fait sans arrières-pensées, juste de quoi mettre une petite touche délassante...Hein ???? Alain Tout-à-fait mon cher Denis. Mais pour la peine, la prochaine fois qu'on se verra, on se paiera chacun un bon dram ! Quand nous verrons-nous ? Witch 3 ? Je l'espère de tout coeur mais cette édition n'est toujours pas décidée. Verviers ? J'ai été tellement déçu la dernière fois par le nombre de "poivrots" et la faible qualité de l'échantillonnage, en dehors du stand CC et de trop rares autres, que j'hésite. Et Paris est bien loin. Sans compter qu'il n'est pas impossible que je reparte. => gnoschnee Il n'était pas trop difficile de trouver les références littéraires adéquates en regardant ton profil... Ceci étant dit, la suggestion de Denis, de partie sur les DE est excellente, dans la mesure où tu as déjà pris la mesure des CS. Je voyais pour ma part la solution des flacons de 20 cl des Classic Malts qui présentent l'avantage de se trouver facilement, de pouvoir être vite terminés. La solution de Denis, les DE, permet de garder des bouteilles qui ne dépareront pas un bar. Pour trouver la série des Classic Malts DE, tu vas chez n'importe quel bon caviste. J'ignore s'il en existe dans ton coin, mais il y en a au moins trois à Versailles et je pense que Saint-Germain ne doit pas être moins fourni. Tu parles de verre, choisis-le bien. Et tiens-toi à ton choix. Il intervient énormément dans l'étalonnage. Pour preuve fais une dégustation du même whisky avec plusieurs verres différentes (du style INAO, tumbler, Spiegelau, coupe à champagne et verre tulipe). Si tu ne l'as pas déjà fait, tu seras étonné du résultat. Une dernière chose : Je ne crois pas que l'un quelconque des forumeurs ici présents puisse qualifier d'amateur éclairé, que l'on donne un sens statique ou dynamique à l'expression... Nous sommes tous des débutants, et ce, que l'on ait tasté 3, 10, 100, ou 1000 whiskies. Anecdote pour finir : Dans mon univers maltesquement sous-développé, où je n'ai trouvé au cours de mes pérégrinations que de rares Glenfiddich et Knockando de base, ainsi qu'une black bottle poussiéreuse, j'ai dîné dans le meilleur restaurant du coin et, ô miracle, il y avait la série des Classic Malts ! Un trésor. |
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Fred Distillateur (Administrateur) |
Posté le: 17/11/08 11:08 [Répondre ] gnoschnee,
Pardon pour ce salut bien tardif mais je reviens juste d'une semaine magnifiquement chargée en argentine. Ceci explique également ma "sourde oreille", le wifi passe mal en Patagonie ... Le phrasé étant assez complexe pour mon esprit en décalage horaire, laissez moi quelque temps pour parcourir cette discussion comme il se doit. A bientôt donc. |
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